Le rapport annuel de Bankin on Climate Chaos est venu encore une fois pointer du doigt les banques françaises, jugées responsables d’encourager, grâce à leurs financements, les projets développant les énergies fossiles, et cela à l’heure de l’urgence climatique.
Confrontée à des rapports qui épingle ses investissements vers les énergies fossiles, la Société générale veut se tourner vers un avenir plus vert en soutenant les énergies renouvelables : pour aller dans ce sens, elle vient de signer un accord cadre avec la Banque Européenne d’Investissement.
En 1999, la BNP et la Société générale s’affrontaient férocement pour le contrôle de Paribas. Vingt et un an plus tard, la première semble toujours un cran devant l’autre dans un contexte de guerre froide où chacun s’épie.
Face à la mondialisation économique qui dépossède l’Etat de son influence, et aux solutions faciles des mouvements populistes, nos sociétés démocratiques font face à un enjeu d’envergure : comment redonner du sens et une place « au politique »?
L’an dernier, une directive a été votée par le Parlement européen visant à forcer les banques à prendre leurs responsabilités et empêchant les états de leur venir en aide. La mesure attise toutefois de nombreux fantasmes.
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